Explorez notre Proof of Concept pour un outil de Data Intelligence qui incorpore les données publiques des Cantons et des énergéticiens. Le but de l’Observatoire est d’être un catalyseur de la décarbonation avec une approche systémique.
En dépit de la grande motivation de plusieurs acteurs étatiques et privés, il n’y a pas une feuille de route qui soit agrée par tous les entités du domaine et qui inclut les aspects pratiques
Les processus de collecte de données et les ressources associées ne sont pas mis au point afin de pouvoir présenter un bilan périodique avec peu d'effort
Les énergéticiens ne publient pas en général leurs bilans carbone sans le stimulus pour être transparents sur leurs impacts. Ils n'ont pas d'incitations économiques pour les âchats durables
Les catégories de reporting ne sont pas harmonisées par rapport au standard féderal offert par l’OFEV
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Nous pourrons observer une décarbonation du secteur selon la nouvelle loi climat du moment que davantage de bilans carbone seront mis à disposition. Il est déjà possible de comprendre le potentiel régional de décarbonation de chaque énergéticien grâce aux données cantonales.
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Les Cantons Romands se sont coordonnées pour offrir un portail centralisé d’informations aux citoyens : www.monplanclimat.ch
Dans la pratique, quant aux aspects quantitatifs des bilans carbone, les catégories de reporting ne sont pas harmonisées par rapport au standard fédéral offert par l’OFEV, ni pour les Cantons, ni pour les communes. Sur la table, le vert indique une catégorie présente, le jaune représente une différence dans la catégorisation, et le rouge indique l’absence explicite de cette catégorie.
Plus en détail, même les titres de catégories similaires sont aussi adaptés selon les préférences de chaque entité. Voir le comparatif pour la catégorie « bâtiments », avec la différence de nomenclature.
Vue sectorielle figurée des émissions de GES, à l'aide de données agrégées et anonymisées provenant des énergéticiens de la région. Elle montre l’historique depuis 2020 et la tendance vers les années cibles 2030 et 2050, avec les engagements de l'industrie. La référence des Accords de Paris est également indiquée et permet d’évaluer la différence entre la tendance actuelle et la réduction nécessaire pour atteindre l’objectif global du net-zero.
Les énergéticiens peuvent suivre leur progrès dans le contexte énergétique régional en utilisant une vue normalisée comparant l'intensité d’émission de GES du secteur à celle de l'entreprise.
Pour Romande Energie (RE), ces graphiques illustrent la grande opportunité de contribuer à la décarbonation de la région vis-à-vis du gouvernement du Canton (potentiel maximum), en dehors de leur propre impact actuel, qui est seulement significatif dans le domaine de l’électricité. Ces résultats quantifient et motivent le travail ensemble, avec une feuille de route qui inclut les grandes lignes et les aspects pratiques.
*À noter que ce « potentiel de décarbonation » tient compte de la présence de RE sur le territoire vaudois en termes de population (~75% de la population du Canton habite dans des domaines desservis par RE).
La partie d'impact de RE vient de l'électricité consommée par les usagers, ainsi que des achats de turbines et d’appareil électrique. Le potentiel de décarbonation prend en compte seulement la présence sur le territoire vaudois de RE, dans ce modèle simple.
Le potentiel de décarbonation se réfère à la partie du bilan carbone vaudois qui pourrait être réduite avec des voitures électriques qui utilisent les nouvelles bornes de recharge (d'après une estimation grossière, c'est le 50% du bilan mobilité du Canton).
Le potentiel de décarbonation se réfère à la partie du bilan carbon vaudois qui pourrait être réduite avec la substitution du chauffage à gaz ou mazout par des pompes à chaleur électriques ou par d'autres moyens.
